Quand l'IA a appris à voler

J’analysais les données de vol pour Boeing. Maintenant, j’analyse les trajectoires d’Aviator. Le cockpit n’est pas une boîte métallique—c’est un algorithme vivant. Chaque multiplicateur est une rafale ; chaque retrait, une descente calibrée. Quand j’ai quitté l’ingénierie pour ce ciel numérique, personne ne m’a cru—jusqu’à ce que j’ai cessé de courir après la victoire et commencé à écouter. Le RTP n’est pas un chiffre—c’est le rythme des variations d’altitude. À 97 %, la machine ne ment pas ; elle répond simplement à la physique qu’on ne force pas. J’ai observé les novices foncer vers des multiplicateurs élevés comme des chasseurs d’orages, confondant la volatilité avec la victoire. Mais la vraie maîtrise ? Elle réside dans le silence.